Dans la montagne, chaque détail compte : un ciel changeant, un vent léger, une floraison tardive.
Dans la ruche aussi, chaque signal — mouvement, odeur, micro-vibration — peut faire la différence entre survie et chute.
Des chercheurs ont identifié que certaines abeilles sont capables non seulement d’identifier un varroa présent dans une cellule, mais de faire la différence entre un parasite vivant, un parasite mort, et… un simple caillou.
Cette finesse de réaction ouvre de nouvelles pistes pour la sélection raisonnée1.





Et demain ? Vers une hybridation des savoirs La sélection apicole de demain ne se jouera pas entre l’humain et…
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