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Hivernage en cave : l’hiver au ralenti


Sous terre, le froid n’a plus d’emprise.

Dans le silence d’une cave, les colonies entrent dans une parenthèse de calme absolu : plus de vol, plus de bruit, à peine un souffle dans la pénombre.
C’est là, à 6 ou 8 °C, que les abeilles attendent le retour de la lumière, groupées autour de leur reine.

L’hivernage en cave n’est pas une curiosité, mais une méthode d’éleveur précise : elle protège les essaims fragiles, économise leurs forces et assure une sortie de printemps vigoureuse.
Encore faut-il connaître la bonne température, la juste ventilation et le moment parfait pour ouvrir la porte sur le jour.

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Quand l’abeille sait faire la différence : comment les ruches “hygiéniques” détectent le Varroa destructor vivant

Dans la montagne, chaque détail compte : un ciel changeant, un vent léger, une floraison tardive.
Dans la ruche aussi, chaque signal — mouvement, odeur, micro-vibration — peut faire la différence entre survie et chute.
Des chercheurs ont identifié que certaines abeilles sont capables non seulement d’identifier un varroa présent dans une cellule, mais de faire la différence entre un parasite vivant, un parasite mort, et… un simple caillou.
Cette finesse de réaction ouvre de nouvelles pistes pour la sélection raisonnée
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